Apprentissage en ligne et production collective de connaissances

Master Biens communs

2e séance de la saison 3 du webinaire « Biens communs numériques », organisé par le Master ICEN de l’université Paris Ouest et coordonné par Louise Merzeau, en partenariat avec SavoirsCOM1.

Avec :

Marie-Anne Chabin, Expert indépendant en archivage/records management, secrétaire général du CR2PA (Club de l’archivage managérial), chargée de cours à l’Université Paris Ouest Nanterre, chercheur en diplomatique numérique au laboratoire Dicen-IDF et blogueuse. Elle est à l’initiative du Mooc Bien archiver, la réponse au désordre numérique.

Robert Viseur, Ingénieur civil et Docteur en sciences appliquées de formation, assistant à la Faculté Polytechnique de l’Université de Mons, en Belgique.  Parmi ses domaines de compétence :  la valorisation des logiciels libres, les essaimages open source et la mise en œuvre de technologies libres de traitement de l’information.

Mot-dièse : #M2Communs

jeudi 25 février 2016 de 14h à 16h30

• captation vidéo de la séance accessible depuis le blog du Master ICEN

Mode d’emploi pour participer au webinaire

 

La mémoire numérique : une mutation anthropologique

image

Où en est l’Humain face au numérique ?

Journée d’études organisée par la chaire des Bernardins
L’Humain au défi du numérique, dirigée par Milad Doueihi et Jacques-François Marchandise.

18 février 2016, 14h30, Collège des Bernardins, Paris

• Interview par Frédéric Louzeau, directeur du pôle de recherche du Collège des Bernardins :

Consulter le programme sur le site de la chaire

Traces éphémères

logo-dicenIDF-blanc1
Séminaire du laboratoire Dicen-IDF

Alors qu’on ne peut plus ne pas laisser de traces, quelles places et quelles fonctions l’environnement numérique accorde-t-il à l’éphémère ?
Les revendications d’un droit à l’oubli (désormais entré dans la pratique) et le succès des applications où les contenus échangés sont censés rester éphémères ont attiré l’attention sur une (nouvelle ?) demande de non-traçabilité, qui reste à interroger. Recherche de confidentialité, de tranquillité, de légèreté, écriture mobile, nouvelle littératie numérique ou simplement dernière promesse d’un marché des données qui épouse au plus près l’évolution des usages ?
Parallèlement, l’évolution des techniques de numérisation et de captation comme des logiques médiatiques semble réduire chaque jour davantage la distance qui séparait le temps de l’archive de l’éphémère. Quantité d’objets infocommunicationnels destinés à ne pas durer (tracts, tags, fresques, tweets…) sont désormais documentés et agrégés au même titre que des contenus pensés d’emblée comme pérennes. L’archive est alors sommée de s’adapter aux éphémères, jusqu’à  devoir se constiter en temps quasi réel.
En quoi les logiques d’archivage et de documentation sont-elles affectées par ces évolutions ? Et que nous apprennent les éphémères dans une culture de la trace numérique ?

  • Louise Merzeau (Dicen-IDF) Tout tracer, même l’éphémère (Introduction)
  • Laurence Allard, Chasser l’éphémère, une vie sous capture d’écran
  • Valérie Schafer et Zeynep Pehlivan, De #jesuischarlie à #offenturen : archivage du patrimoine nativement numérique face aux attentats
  • Julien Hage (Dicen-IDF), Éphémères de crise, mise en crise de l’archive ?
Références biblio-webographiques :
Quelques liens utiles :

Séminaire du laboratoire Dicen-IDF
mardi 16 février 2016 de 14h à 17h, Cnam

Visiter le site de Dicen-IDF