De la communication aux communs

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InterCDI


Les Communs de la Connaissance,
objet d’enseignement pour les professeurs documentalistes

Dossier coordonné par Hélène Mulot
publié sous Licence Creative commons CC-By-SA.

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Pour citer cet article

Louise Merzeau “De la communication aux communs”, InterCDI, mai 2016, N°261, p.29-30.

L’expérience transmédiatique : inclusion, environnement, communs

couv-homme-traceL’Homme-trace. Inscriptions corporelles et techniques


En s’écartant des conceptions courantes de la fracture numérique et de l’exclusion, on se propose d’interroger les conditions de l’e-inclusion à partir d’une pensée de l’environnement-support et de l’expérience transmédiatique. Opposant le paradigme de la présence à celui de la performance, on reviendra sur les injonctions paradoxales qui sous-tendent les discours sur le supposé écart ou retard à combler, pour leur opposer une réflexion sur l’action dispositive. En réintroduisant les questions de contextualisation, de médiation, d’organisation et de mémorisation dans le processus d’insertion, on suggèrera de replacer la problématique du handicap dans celle, plus large, du monde partagé et des biens communs
.

Cet article reprend  les propos tenus lors de la journée Handicap psychique et insertion organisée au Havre en mars 2014.

Ouvrage dirigé par Béatrice Galinon-Mélénec, Fabien Liénard et Sami Zlitni
CNRS éditions, Collection CNRS Alpha, 2015, 284 p.

Visiter le site de CNRS éditions

Pour citer cet article

Louise Merzeau “L’expérience transmédiatique : inclusion, environnement, communs”, in B. Galinon-Mélénec, Fa. Liénard, S. Zlitni (dir.), L’Homme-trace. Inscriptions corporelles et technique, CNRS éditions, 2015, p.115-128.

 

Qu’est-ce que le digital labor ?

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Dialogue entre Dominique Cardon et Antonio Casilli


Cet ouvrage est le résultat d’un dialogue entre Dominique Cardon et Antonio Casilli, engagé en juin 2014 lors d’une séance des ateliers de recherche méthodologique du dépôt légal du Web à l’Ina sur le thème du digital labor. Au travers d’échanges nourris, antagonistes parfois, ils ont abordé avec une hauteur de vue exemplaire les questions liées aux enjeux de la production de valeur sur Internet et à la qualification des usages numériques ordinaires comme travail. Ces ateliers, animés depuis 2009 par Louise Merzeau, ont vocation à accompagner les usages de recherche sur et à partir du web archivé. Ils sont l’occasion de débats sur les grands enjeux de la transition numérique.

Institut National de l’Audiovisuel, août 2015
Collection « Études et controverses »

Pour citer cet ouvrage

Dominique Cardon et Antonio Casilli, Qu’est-ce que le digital labor ?, Institut National de l’Audiovisuel, Collection « Études et controverses », 2015, 104 p.

Reconnaissance et épaisseur temporelle

couv-reconnaissanceReconnaissance et temporalités. Une approche info- communicationnelle


Que désirons-nous faire reconnaître lorsque nous luttons pour une reconnaissance ? Une identité, un statut, une qualité ? Ou bien un savoir, une histoire, une mémoire ? Entre ces deux séries, la différence, apparemment infime, est sans doute considérable : de l’une à l’autre, s’est ajoutée une épaisseur temporelle et, à travers elle, l’enjeu d’un nous qui l’aurait en partage. En interrogeant la possibilité d’ajouter aux trois degrés de reconnaissance identifiés par Axel Honneth – l’amour, le droit, la solidarité – une quatrième entrée située dans le temps, le présent ouvrage accomplit un geste épistémologique et pragmatique important, et plus que jamais nécessaire.

Sous la direction de Jean-Claude Domenget, Valérie Larroche et Marie-France Peyrelong
Préface de Louise Merzeau

L’Harmattan
Collection : Communication et civilisation
ISBN : 9782343067186 – 290 pages
juillet 2015

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Pour citer cet ouvrage

Jean-Claude Domenget, Valérie Larroche et Marie-France Peyrelong, Reconnaissance et temporalités. Une approche info- communicationnelle, L’Harmattan, Collection « Communication et civilisation », 2015, 290 p.

Identités numériques. Expressions et traçabilité

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Les Essentiels d’Hermès

Coordonné par Jean-Paul Fourmentraux

À l’ère d’Internet, l’expression de nos identités numériques est prise en porte-à-faux. D’un côté, l’invention par les citoyens-internautes de nouvelles modalités d’expression et de revendications identitaires, individuelles et collectives sont susceptibles de renforcer le lien social et l’existence démocratique. D’un autre côté, la propension de contrôle de ces identités à des fins économiques et politiques s’accroît via la captation, la fidélisation et la traçabilité des profils. Répression et surveillance de nos comportements numériques semblent plus que jamais d’actualité. Comment maîtriser ses identités numériques ? Peut-on être personne sur le réseau ? Peut-on effacer ses traces ? Que faire de tous nos mots de passe et identifiants ? Ce volume des Essentiels d’Hermès propose de mettre en lumière les ressorts et dilemmes de la présence en ligne et de l’« être ensemble », ou autrement dit de la communication à l’ère numérique.

CNRS éditions
collection « Les Essentiels d’Hermès »
ISBN : 978-2-271-08702-7
240 pages

À l’intérieur : reprise de l’article de Louise Merzeau “Du signe à la trace” paru dans  Hermès N°53, Traçabilité et réseaux, CNRS éditions, p. 23-29.

Sommaire complet du volume