Le numérique comme environnement à comprendre et transformer


Journée d’étude L’innovation pédagogique en projets : environnement(s), méthodes, dispositifs


Le double objectif de cette journée sera de donner des éléments concernant le contexte tant technique, socio-culturel que cognitif au sein duquel doit nécessairement s’inscrire l’innovation pédagogique aujourd’hui, et de présenter différents types de projets pouvant être regroupés sous cette appellation protéiforme.

13 juin
URFIST de Toulouse
Maison de la Recherche et de la Valorisation
118 route de Narbonne

9h45-10h30 : Louise Merzeau (Professeure en sciences de l’information et de la communication, Université Paris Nanterre, Laboratoire Dicen-IDF) et Hélène Mulor (Protesseure documentaliste, Académie de Toulouse) :
Le numérique vu comme un environnement à comprendre et à transformer

Programme complet de la journée

Vulgarisation scientifique, pédagogie et diffusion sur les réseaux


3e séance de la saison 4 du webinaire « Communs numériques », organisé par le Master ICEN de l’université Paris Nanterre et coordonné par Louise Merzeau, en partenariat avec SavoirsCOM1.

Avec :

  • Clothilde Chamussy (@PasseSauvage), auteure de la chaîne Youtube Passé sauvage, spécialisée en histoire et archéologie
  • Alexandre Moatti (@A_Moatti), chercheur associé à l’université Paris-VII laboratoire sphere, Concepteur et éditeur de la chaîne vidéo cultureGnum (Canal-U, FMSH), vidéos d’humanités et de culture générale.

sur Twitter : #M2Communs

jeudi 30 mars 2017 de 14h à 16h30
Université Paris Nanterre – bât. L, Salle des Conseils
Ouvert à tous

• captation vidéo de la séance en direct et en différé accessible sur le blog du Master ICEN

Mode d’emploi pour participer aux échanges du webinaire

Savoir s’éditorialiser

Plan Académique de Formation


Identité, présence, traces  : quels sont les savoirs info-documentaires à transmettre pour le professeur documentaliste ?

Stage organisé par l’Académie de Reims.

10 mars  2017, Reims
#PAFReims

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Décodex : la guerre contre les fake-news


@rrêt sur images


En ces temps de fausse information et de post-vérité, il est plus nécessaire que jamais d’aider les internautes à s’orienter dans la jungle des informations en ligne. Les aider oui, mais qui doit les aider, et comment ? Un nouvel outil développé par Le Monde, Decodex, soulève depuis quelques jours un tonnerre de protestations de la part des sites labellisés peu fiables ou même pas fiables du tout. Question de fond : un journal peut-il être le juge de ses concurrents ? Pour répondre : Samuel Laurent, responsable des Décodeurs du Monde, à l’origine du projet Décodex, Louise Merzeau, qui propose dans une tribune une labellisation collaborative sur le modèle de Wikipedia et François Ruffin, patron du site Fakir et réalisateur du film Merci Patron !

Émission de Daniel Schneidermann
Diffusée le 10 février 2017

Avec :

  • Samuel Laurent, responsable des Décodeurs du Monde
  • Louise Merzeau, professeure en sciences de l’information et de la communication à l’université Paris Nanterre
  • François Ruffin, responsable du site Fakir

Extrait de l’émission :

Visionner l’émission

Visiter le site d@rrêt sur images

Controverse Décodex : penser la qualité de l’information comme un Commun


SavoirsCOM1

Nul ne contestera que les enjeux de l’évaluation de l’information sont de plus en plus importants et que l’outil [développé par lemonde.fr] peut avoir un réel intérêt pédagogique en contribuant à développer chez les internautes une  attitude critique et une culture de l’information.
Pour autant, il semble essentiel de ne pas s’en tenir au seul jugement des Décodeurs (juge et partie parmi les sites de presse) et de développer une réflexion sur le principe même d’une labellisation des sites. L’éducation à l’information ne peut pas être accaparée par un seul journal, aussi légitime soit-il, alors que de nombreux acteurs (bibliothécaires, journalistes, professeurs documentalistes, enseignants, modérateurs, etc.) détiennent des compétences en la matière et pourraient mettre en commun cette culture informationnelle. À l’instar du Monde, on peut aisément imaginer que d’autres proposeront leur propre système d’évaluation – servant leurs propres intérêts –, qu’il s’agisse de plates-formes privées comme Facebook, des conspirationnistes eux-mêmes ou de l’État, qui trouverait là un moyen de restaurer une régulation par en haut de l’Internet.

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