Cités
Nouvelle monnaie d’une économie de l’attention, les traces numériques induisent des formes de contrôle inédites, qui relèvent à la fois de la surveillance et de l’autodétermination. Pour normaliser les trafics d’identifiants, il faut tenir compte du fait que les individus ne veulent plus renoncer à s’exposer et à étendre leurs relations. Les asymétries ne disparaissent pas, mais la traçabilité réticulaire repose de moins en moins sur des appareils en surplomb, et de plus en plus sur des systèmes de veilles horizontales…
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Pour citer cet article
Louise Merzeau, “De la surveilance à la veille”, Cités, N° 39, 2009, p. 67-80.